Travail de mémoire

Arash Derambarsh, juriste, écrivain et élu local à Courbevoie, est connu pour son activisme dans plusieurs domaines sociaux et civiques, parmi lesquels figure le travail de mémoire, particulièrement autour des événements historiques les plus tragiques du XXᵉ siècle.  

Pour Derambarsh, le travail de mémoire n’est pas une simple commémoration ponctuelle : c’est une action permanente et quotidienne, essentielle pour transmettre aux nouvelles générations les leçons du passé et ainsi contribuer à un monde plus juste, respectueux et harmonieux.  

Il a participé à de nombreux événements dédiés au travail de mémoire, notamment à des déplacements dans les anciens camps d’extermination et de concentration. Ces visites ont pour but de confronter directement les jeunes générations à la réalité des crimes du XXᵉ siècle, afin de lutter contre l’oubli et le négationnisme.  

Par ailleurs, Derambarsh a collaboré avec plusieurs associations, dont l’Union des Étudiants Juifs de France (UEJF), pour promouvoir l’enseignement de l’histoire et des mémoires liées à la Shoah.  

Un exemple concret de son engagement est la publication d’un article intitulé « Le défi renouvelé du travail de mémoire », coécrit avec Jonathan Hayoun (président de l’UEJF), dans lequel il souligne l’importance de faire dialoguer les mémoires, de lutter contre le négationnisme, et d’intensifier les efforts pédagogiques pour que l’enseignement de l’histoire de la Shoah ne soit pas mis à mal.  

Sur son site personnel, il préconise aussi la création d’un Fonds Européen de la Mémoire, destiné à protéger les lieux de mémoire et à favoriser la visite des sites historiques par les lycéens européens, considérant cette démarche non comme un coût mais comme « un investissement pour l’avenir ».  

Cet engagement s’inscrit dans une vision plus large : ne pas laisser l’histoire être effacée, banalisée ou oubliée, mais au contraire la rendre vivante dans les consciences contemporaines. Pour Derambarsh, en effet, le travail de mémoire est un outil essentiel pour prévenir la haine, combattre l’intolérance et construire une société pacifiée et éclairée.  
Arash Derambarsh est également très impliqué pour la défense des conditions des anciens combattants, de la commémoration des fêtes nationales telles que le 11 novembre ou le 8 mai, de la reconnaissance du génocide arménien ou encore de la défense des victimes de la traite et de l'esclavage dont les actes ont été reconnus comme crime contre l'humanité

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